Tout l’été, sur ma cheminée, un joli faire-part annonçait le mariage de Julie et Élodie. En juin, quand j’avais ouvert l’enveloppe, j’avais trouvé ça bizarre : Deux filles qui se marient ? J’ai relu trois fois pour être sûr… oui, c’était bien l’annonce que Julie et Élodie, entourées de leur famille, étaient « heureuses de vous faire part de leur mariage » lire la suite : Mariage-gay-#372.pdf
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mercredi 12 février 2025
Le clin d’oeil de Denis Corpet
Durée 3 min
Propositions

mercredi 12 mars 2025
Tout est blanc
... j’ouvre nos volets : impossible d’ouvrir les yeux tant c’est lumineux. La neige est tombée dans la nuit, elle assourdit tous les bruits. Le plus surprenant c’est la lumière : tout est transfiguré, lumineux et paisible.. Alors en vitesse (...)

vendredi 7 mars 2025
Pruniers en fleurs
... fin février, alors que l’hiver semble installé pour toujours, juste après le pont, je LE vois : son blanc frémissant et léger éclaire la berge boueuse. Lui, c’est le prunier sauvage qui fleurit le premier. Il annonce tous ceux qui le (...)

mercredi 26 février 2025
Nouvelle vague
... ce n’est pas facile de lâcher peu à peu toutes ces responsabilités, mais quel bonheur de voir des jeunes qui prennent leur place dans l’Église, dans la société, au travail, partout ! Des jeunes qui servent et qui décident. Même si ce n’est (...)

mercredi 19 février 2025
Quitter WhatsApp ?
Le jour où Trump entrait à la Maison-Blanche, nous avons fermé le WhatsApp familial, pour cesser d’enrichir un copain de Trump. Mark Zuckerberg est super riche, et possède aussi Facebook , ce réseau addictif qui "casse" tant de jeunes. (...)

mercredi 5 février 2025
Rigueur & Douceur
Il me dit : "Animer un WE avec toi c’est super ! Tout est prévu, tu penses à tout et tu tiens la montre. On arrive à tout faire, et on finit à l’heure pour ceux qui repartent en train.", mais il ajoute : " Et l’accueil ? Prendre le temps de (...)

mercredi 29 janvier 2025
L’arbre à cris
Comme un vol criard d’oiseaux en émoi, tous mes souvenirs s’abattent sur moi. chante Verlaine. C’est cet arbre torturé que peint Caspar Friedrich, cerclé de corbeaux croassant. Cet arbre criard me rappelle de sombres souvenirs d’enfant, où (...)
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