Un témoignage historique surprenant : Maitre Carrière- Boumazel ancien président du Conseil national des barreaux de France a raconté dans un discours du 28 octobre 2013 ce qu’un témoin a constaté de visu lors de la libération d’un camp d’extermination par les armées alliées en 1945. Ce bataillon devant poursuivre son combat a réparti avant de s’en aller les rôles de quelques détenus moins affaiblis que les autres. Ainsi certains furent dotés d’armes pour monter la garde des nazis fait prisonniers. Surprise : ces nouveaux geôliers d’infortune, loin d’exercer une vengeance immédiate contre leurs tortionnaire désarmés, les ont normalement nourris et traités.