Le transhumanisme : le pire comme le meilleur.
Le meilleur, c’est, par exemple, l’histoire de Ian Burkhart, jeune américain complètement paralysé, qui par la simple pensée, grâce à un implant dans le cerveau, arrive à bouger la main et à se servir d’un téléphone.
Le pire ? Le robot Paro, par exemple, tellement sophistiqué que l’une des ses évolutions pourrait demain devenir un excellent auxiliaire de vie auprès des personnes âgées et finalement remplacer un être humain.
Alors, demain sera-t-il un monde heureusement augmenté ou le meilleur des mondes ?
Avec le père Tanguy-Marie Pouliquen, prêtre de la communauté des Béatitudes, professeur d’éthique à l’Institut catholique de Toulouse.