Venue d’Outre-Atlantique, cette proposition extraordinaire et mal connue de rencontres entre victimes et agresseurs pour un chemin de compréhension et de reconstruction, commence à se développer en France. Dans l’Hexagone, un quart des services pénitentiaires d’insertion et de probation seraient engagés dans ce type de programmes. Une manière de compléter la justice pénale traditionnelle qui pourrait petit à petit transformer la manière de rendre la justice en France.
Avec Benjamin Sayous, directeur de l’Institut français pour la Justice restaurative et Pierre-Yves Révillion, ancien aumônier de prison.