« Comme je voudrais une Eglise pauvre pour les pauvres », lançait à peine élu le pape François dans la salle Paul VI devant un parterre de journalistes du monde entier.
Une "Eglise pauvre pour les pauvres" : qu’est-ce à dire ? L’Eglise est-elle vraiment pauvre ? Ne serait-ce que parmi les Français une majorité d’entres-eux seraient convaincus du contraire.
Alors, qu’en est-il ? De quels moyens financiers l’Eglise dispose-t-elle ? Quelle place fait-elle aux plus pauvres ? Se sent-elle, elle-même pauvre ?