Un carton l’annonce dès l’ouverture du film de Dominik Moll, La Nuit du 12, environ 20 % des enquêtes criminelles menées par la PJ en France restent irrésolues. Où, quand, et comment, Clara a été tué, on le sait déjà : elle a été brûlée vive dans une rue d’une petite ville près de Grenoble, la nuit du 12 octobre. Alors, qui a commis ce crime atroce ? À cette question, Yohan, l’inspecteur de la police judiciaire chargé de l’enquête, n’aura jamais de réponse. On ne dévoile rien en disant que La Nuit du 12 est un thriller sans coupable. L’histoire du film est tirée d’un fait divers faisant parti de ces affaires non résolues.
David Leitch nous entraîne à la suite de Coccinelle, un assassin malchanceux et particulièrement déterminé à accomplir sa nouvelle mission paisiblement. Il l’embarque à bord du Bullet Train, le train le plus rapide du monde, aux côtés d’adversaires redoutables. David Leitch a troqué sa caméra pour un bâton de dynamite aiguillant son train, et le spectateur avec lui, sur la voie de montagnes russes explosives et sanglantes !
2555, ce qu’il reste de l’humanité vit dans des sous-sols, la terre a été dévastée par une catastrophe nucléaire. Une catastrophe plus grande encore est prête à détruire ce qu’il reste du monde vivant. Le Visiteur du Futur, celui-là même du titre du film de François Descraques a le pouvoir d’empêcher l’inéluctable.
A la fois conflit de générations et thématique écologique terriblement d’actualité, Le Visiteur du futur se situe entre L’armée des douze singes, le film de Terry Gilliam, et Retour vers le futur.