[ Rediffusion ] Vous connaissez cette phrase de Pascal ? « Tout le malheur des hommes vient
d’une seule chose, qui est de ne pas savoir demeurer en repos dans sa chambre ».
C’est fou comme le repos peut m’apparaître parfois comme une contrainte, une perte
de temps, un vide inutile, à l’envers de ma course frénétique à l’efficacité, à la
réussite, à la réalisation de mille projets qui me semblent essentiels et merveilleux !
Se mettre en OFF, corps et tête simplement disponibles à la plénitude d’être, voilà un
programme pourtant ultra fructueux ! Car c’est dans cette disponibilité totale à exister
sans enjeu que l’essentiel refait surface, et c’est fort !
Répit, repos !

04102023 chro artherapie
Propositions

vendredi 1er août 2025
La foi en soi, un attrape-rêves
J'ai lu l'autre soir, en grosses lettres rouges sur les murs d'une agence immobilière, cette phrase belle et inspirante de Martin Luther King « Croyez en vos (…)

jeudi 31 juillet 2025
Tous des adultes-enfants !
[ Rediffusion ] « Il y a dans l'adulte un enfant, un enfant éternel toujours en état de devenir, jamais terminé, quiaurait besoin constamment de soins, d'attention et (…)

mercredi 30 juillet 2025
Attendre sans se ronger les ongles !
[ Rediffusion ] Attendre, quel exercice difficile ! « Notre attente d’un amour, d’un printemps, d’un repos », je cite Christian Bobin, « est toujours comblée par surprise. (…)

mardi 29 juillet 2025
Passion ou obsession ?
[ Rediffusion ] Je ne sais pas si vous êtes du genre passionnés voire obsessionnels, mais si oui,vous devez alors, comme moi, avoir tendance à vous enfourner dans les sujets, lessituations, les hobbies et les liens, avec un enthousiasme (…)

lundi 28 juillet 2025
Chez soi parle de soie et de soi !
[ Rediffusion ] Ces derniers temps, pour des raisons de changements éventuels, je visite àToulouse des apparts, des maisons, dans des quartiers divers. Je découvre desespaces (…)

vendredi 25 juillet 2025
C’est un jeu d’enfants !
[ Rediffusion ] Récemment en goguette au Pays Basque, on a longé la côte d’Hendaye à Bayonne et vice versa, se posant au gré des pérégrinations sur le sable, grisés par (…)
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