Vous remplissez vos agendas du semestre prochain, testez vos skis l’été pour la glisse de l’hiver ? Et si on sortait de l’anxieuse anticipation pour descendre dans la douceur du réel et s’offrir du soin oxygénant et réparant ? Oui, une certaine organisation de l’après est nécessaire mais notre tendance au contrôle obsessionnel de notre demain a besoin d’apaisement, a besoin de soin…L’art-thérapie offre cet espace de reconquête joyeuse de la vie de maintenant…Et c’est vital pour nos corps et nos psychés !
Propositions
jeudi 18 avril 2024
L’acceptation-attitude...
L’acceptation, tout un programme en ce bas monde n’est ce pas ? Autant il est facileet naturel de consentir à l’amour, à la beauté et à chacun des évènementsjoyeusement doux de nos vies, de recevoir le soleil en pleine face et d’accueillir (...)
jeudi 11 avril 2024
Vivons perchés !
Vous connaissez Andreas Wenning, ce menuisier architecte spécialisé dans la conception de maisons atypiques perchées dans les arbres à 11 ou 12 mètres du sol ? Fabuleux ces cabanes fondues dans l’environnement ! De la petite cabane de 4m2 (...)
jeudi 4 avril 2024
Source et re-source, ou l’art de ressusciter !
La source, la ressource, je les aime bien ces 2 mots tout en Hou farcis de S quisonnent et qui sifflent. Avec eux nous viennent des images bucoliques de nature,d’eau douce (...)
jeudi 28 mars 2024
Le parfum du bien !
Régulièrement je plonge dans des œuvres poétiques, pour dénicher les pépiteslumineuses que je propose ensuite en ateliers d’art-thérapie à mes patients toujourssensibles à la douceur des mots. En voyageant chez Victor Hugo, et notammentdans ses (...)
jeudi 21 mars 2024
Souvenirs…Album thérapeutique !
A l’occasion des 18 bougies de notre fille, je l’observais tournant les pages de l’album de sa vie, émue, heureuse. Des portraits d’elle à tous les âges, à couettes, à dos de poney, (...)
vendredi 15 mars 2024
Vendu !
C’est fou la densité émotionnelle dont un lieu peut être chargé ! Pendant qu’avec mes soeurs on s’activait à trier, vider, porter, jeter, donner, monter et descendre les escaliers d’une baraque familiale vendue, j’avais le sentiment de vivre en (...)