Le temps, il court, il court.
Loin du silence des abbayes, de celui que l’on peut éprouver quand on est en pleine nature, en forêt ou en montagne, où le temps semble s’écouler plus lentement, au point de se dilater, nos vies ressemblent à une course, une fuite en avant même, chronométrée.
Des journées, au cours desquelles chaque minute est comptée, et dans lesquelles les relations et les communications se multiplient. Est-ce une fatalité ? Peut-on reprendre la maîtrise de son temps et par là de sa vie ?
Avec François Bertier.