Dans le cadre de ses actions dans le domaine du cinéma, SIGNIS, l’Association Catholique mondiale pour la Communication, compte des jurys SIGNIS, œcuméniques ou inter-religieux dans plus de 30 festivals internationaux. Dans la liste des manifestations figure des noms connus comme Cannes, Berlin ou encore Venise et en bonne place on trouve Les rencontres du Cinéma d’Amérique Latine de Toulouse, Cinélatino. Comme tous les ans le jury toulousain, composé de trois membres professionnel·les du cinéma, a attribué un prix à un long-métrage de la compétition documentaire ainsi qu’à un court-métrage lui aussi issu de la compétition documentaire. Philippe Cabrol, un des jurés SIGNIS, raconte à l’ouvreuse son expérience, la qualité de la sélection et celle des débats qui ont permis de récompenser La Colonial du réalisateur mexicain David Buitrón Fernández.
On connaît l’habilité et le flair de Jo Loubet et de ses complices pour trouver et montrer des films rares, oubliés, remarquables surtout. Il n’est donc pas surprenant de voir dans la programmation de leur Ciné Classique As tears go by le premier film de Wong Kar Wai. Pour être sûr qu’on ne passe pas à côté de ce polar envoutant, Jo Loubet décrit avec passion le romantisme fiévreux de ce récit. Un romantisme qui deviendra la marque de fabrique du cinéaste Hongkongais ! L’ouvreuse en est resté bouche bée !
As tears go by à voir dimanche 9 avril à 18h30 au cinéma Véo de Muret
Guillaume Sidhom est un as de la carburation cinématographique. La preuve, le tour de Vespa qu’il nous fait faire dans le Rome des années 1950 à la suite de Grégory Peck et Audrey Hepburn, oui, le duo craquant de Vacances Romaines de William Wyler.
Laurent Martin a un petit coup de mou, sa récolte de films à voir à la télé est bien maigre et il le déplore. Heureusement il a dégotté un roman, alternative magnifique au petit écran tristounet !