Depuis 2007 et le court-métrage : Dernière Partie , un thriller décalé, Raphaël Balboni forme, avec Ann Sirot, un tandem d’auteurs-réalisateurs de fiction. Leur cinéma, loin des schémas classiques du 7ème art, repose sur une écriture singulière qui demande aux acteurs spontanéité et créativité. Esthétique soignée, mise en scène inventive, rythme soutenu, la liste pourrait être encore longue mais elle suffit déjà à caractériser leurs créations et surtout la qualité de leur travail. Une vie démente , leur premier long métrage, a été couronné de sept Magritte, l’équivalent belge des César.
Raphaël Balboni était à Toulouse en septembre dernier pour présenter, dans le cadre du Fifigrot, Le Syndrome des Amours Passées leur second film, en salle à partir d’aujourd’hui. L’occasion était belle pour l’ouvreuse de demander au cinéaste franco-belge de livrer quelques secrets sur la fabrication de leur dernière production.
L’intrépide Guillaume Sidhom, à moins qu’il ne soit téméraire, ne craint pas de s’attaquer au Voyage au bout de l’enfer , le grand œuvre de Michaël Cimino.
Grégory Caumes fait un bond en arrière dans le temps, il a revu The Wire (Sur écoute) . Verdict, la série HBO n’a rien perdu de ses qualités ! Laurent Martin aime le cinéma, la lecture et le partage ! Alors il conseille les films à voir et les bouquins à lire confortablement installé dans son canapé.